Comme nous l’avons évoqué dans notre dernier article, les travaux de Guillaume Pitron montrent comment un monde « bas carbone » est forcément un monde « haute matière ». La transition écologique va notamment nécessiter énormément de métaux, parmi lesquels les terres rares, essentielles sur le plan énergétique et pour le numérique. La Chine s’est affirmée ces dernières années comme l’acteur déterminant dans l’accès à cette ressource. L’Europe se saisit maintenant du problème.